Au début, je croyais que l’amour montait (voir figure 1). Après plusieurs déconvenues, j’ai compris qu’il descendait (voir figure 2, dite « courbe de Victoire »).
Il existe peut-être une troisième voie. Un coup de foudre à peu près réciproque peut se transformer en passion durable à condition de l’entretenir à coups de voyages, de beuveries et de scènes de ménage gratuites (voir figure 3).
Comme quoi la rigueur mathématique ne messied pas à l’analyse des sentiments.